Ces deux jeunes artistes ont obtenu leurs DNSEP obtenu à l’Ecole des Beaux Arts de la Réunion. Leurs pratiques de départ sont pour l’un le graffiti et pour l’autre le dessin. Elles se combinent désormais à travers la réalisation de fresques murales et de peintures sur divers supports. L’usage de la ligne et des motifs fait partie intégrante de leur démarche. Ils nourrissent leur travail de leur complémentarité. Depuis 2015, ONESHOZ continue de faire vivre Mumuschick dans ses lignes et dans sa signature malgré sa disparition. Il lui dédie entièrement son travail.
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FLOE est designer graphique depuis 16 ans. Elle a créé des oeuvres d’art et de design pour des clients tels PlayStation, Séga, Sony Music, Universal Music, Warner, Activision, Les Eurockéennes, La Mairie d’Echirolles, Le Printemps de Bourges, Coca-Cola, Rock en Seine, Pardon! Creation, L’effet Péi… * Voir la section duos sérigraphiques.
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Je dessine principalement aux poscas un univers coloré poétique et rigolo sur tous types de support (skate, vinyl, carton, bombe de Graff, casques etc). D’où vient ton nom de créateur ? Mon nom d’artiste c’est John bob, c’est pas moi qui ai choisi le nom, mais je n’en avais pas alors à chaque fois que je participais à un événement on mettait mon pseudo fb… Comment tu t’es lancé dans la création? J’ai affronté le regard des gens pour la première fois aux Rencontres Alternatives à Saint-Leu, c’est Mag de Dsm qui m’avait invité à partager son stand alors qu’on se connaissait à peine, depuis j’y ai pris goût et j’aime bien ça. Quelles sont tes inspirations? Mes aspirations, c’est bateau à dire mais la vie qui m’entoure, la culture pop, geek, urbaine, mon fils etc… Quelle serait ta devise? Ma devise serait « la vie est bien plus belle toute en couleur »
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Le Corridor bleu privilégie les découvertes éditoriales, qu’il s’agisse de littérature, de philosophie, de spiritualité ou du patrimoine culturel de La Réunion où il a élu domicile. Le plaisir du texte rencontre le souci du papier et de la mise en page. Comité éditorial : Charles-Mézence Briseul, écrivain Ivar Ch’Vavar, poète & critique Pierre Vinclair, romancier & poète D’où vient ton nom de créateur ? Le Corridor bleu est une image de la création. C’est un lieu contraignant et flou à la fois dans lequel on n’est jamais sûr de ce que l’on trouvera. Comment tu t’es lancé dans la création? Il y a une dizaine d’années, j’ai lancé le Corridor bleu pour publier des poètes dont j’appréciais particulièrement le travail. Puis, peu à peu, je me suis tourné vers d’autres genres et d’autres artistes qui m’ont permis d’étoffer la ligne éditoriale. Quelles sont tes inspirations? En édition: José Corti, Encres Marines, Fata Morgana, Finitude, Sens & Tonka, Verdier. En écriture: Céline, la beat generation, les poésies expérimentales du 20ème siècle (sonores, visuelles, concrètes), Pierre Michon, Jules Hermann. En cinéma: Godard, Rohmer, Dumont, Lynch, Tarkovski. Quelle serait ta devise? Un livre est une expérience. Totale.
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A mon arrivée sur l’île il y a 2 ans j’ai fait des rencontres qui m’ont poussée et accompagnée dans la création de mes tableaux. J’ai découvert ici la technique du collage de journaux en fond, puis comme support j’ai décidé de récupérer ce que je pouvais trouver sur mon chemin, au quotidien (étagères, morceaux de meubles, chutes de bois…) D’où vient ton nom de créateur ? TINKY : n’est pas un nom d’artiste au départ, c’est un surnom qui m’a été donné par des amis. Comment t’es tu lancée dans la création? J’ai toujours aimé créer en autodidacte. J’ai commencé par le dessin, puis la peinture. Quelles sont tes inspirations? Une humeur, une envie, un projet, une image, une personne : quelque chose qui va faire écho en moi Quelle serait ta devise? …
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Après des années de tâtonnements de couleurs et de matières, je prend enfin un réel plaisir avec le noir et blanc. Stylo, encre de chine et gouache blanche sont la base de ma technique. Je m’essaie encore à différents supports, les possibilités sont infinies… il faut l’avouer j’ai un petit faible pour les portraits… D’où vient ton nom de créateur ? Je signe Leslie, c’est mon prénom tout simplement… Comment t’es-tu lancée dans la création? Je dessinais beaucoup étant enfant.. mais la vie et ses contraintes ne m’ont plus laissé ce temps là… j’ai repris en venant m’installer ici, grâce a Florence Vitry qui m’a redonné l’envie.. .Merci à elle pour son amour de l’art et sa patience… Quelles sont tes inspirations? J’aime les gens, je me surprend souvent a scruter les inconnus dans la rue, à la recherche de ce truc qui les rend unique… tout le monde est beau à sa façon et c’est ça que je veux montrer dans mes tableaux… Quelle serait ta devise? Be happy…
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BIO ET DEMARCHE: Après de nombreuses années d’errance et d’expérimentations en solo, Vie464 a été formée au dessin et à la peinture à l’Atelier Jean-Jacques Houée, à l’Eperon. Après quelques recherches sur l’éclatement de l’espace ayant donné lieu entres autres à de grandes toiles abstraites, elle revient à ses premières amours, les collages, recomposant le monde à sa manière en suivant un fil conducteur : “qu’y a t’il derrière les apparences”? En 2016, elle s’attelle entre autres à « Châteaux de Cartes », série de tableaux en cartes à jouer découpées. Une idée en amenant une autre, un texte est écrit qui commence à raconter une histoire. L’histoire se poursuivant amène la nécessité de réaliser d’autres tableaux, qui en deviennent les illustrations. Ce projet se poursuivt en 2017 et se terminera par l’édition d’un livre. Parallèlement, elle prépare des conférences/ateliers autour de l’histoire de l’art pour des jeunes à partir de 5 ans. La première, sur Michel Ange, devrait être prête en juin 2017. Elle propose également des « Journées de Vie », qui délocalise les arts plastiques directement chez vous. Une journée entière sur un thème donné, avec un cours de dessin proprement dit sur quelques heures, un repas partagé et la réalisation […]
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Je peins sur bois ou toile, principalement à l’acrylique. J’utilise une technique que j’appelle de Rorschach (d’après le test utilisé en psychologie). Je pose d’abord de façon aléatoire des traces sur la toile, quand je vois une forme qui me plaît, je creuse cette perception et je la travaille. D’où vient votre nom de créateur ? Je ne peux pas en parler, c’est un nom hyper codé ! Comment t’es-tu lancée dans la création? Comme on se libère d’entraves : un long et lent travail de rééducation pour oser enfin. Mes enfants m’ont beaucoup aidé – ils se lâchent beaucoup plus facilement que les adultes – je me suis inspirée d’eux. Quelles sont tes inspirations? J’ai été nourrie de BD, je trouve que ces artistes sont trop peu reconnus. Chaque case peut receler un chef d’oeuvre sur lequel on ne passera que quelques secondes… Et puis, il y a Modi. Quelle serait votre devise? Ce monde est absurde et c’est ça qui est bien.
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Diplômée de L’école d’Art de la Réunion, créatrice de bijoux, je suis une touche à tout. Comment tu t’es lancé dans la création? J’aime explorer les techniques. Je dessine aussi des paysages, des univers industriels surréalistes et oniriques…issus, sans doute, de mon enfance passée à jouer dans le garage de mon père en pleine zone industrielle du Chaudron! Quelles sont tes inspirations? Je m’intéresse à cette recherche inconsciente commune à tous: retrouver la paix profonde et être en accord avec soi. Pour cela je m’inspire, entre autres, d’écrits sur la psychanalyse. Mon avatar miniature part en exploration et ouvre les trappes de l’inconscient pour y trouver les angoisses souterraines et les libertés bloquées. il y rencontrera d’autres facettes de lui-même et des créatures étranges… Ces autoportraits mentaux sont traités avec fantaisie et humour sous forme graphique. Mes carnets regorgent d’idées! Quelle serait ta devise?
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Mon travail suit deux directions : 1. Les peintures (huile ou acrylique) et encres de Chine, de veine onirique, parfois surréaliste, mettent en scène l’être humain en proie avec le mystère de sa propre existence. 2. Les dessins et carnets BD (crayon, encre et aquarelle), plus légers, sont des clins d’oeil au plaisir d’exister. D’où vient ton nom de créateur? Comment t’es tu lancée dans la création ? J’ai mis le doigt dans l’engrenage, par curiosité et la machine m’a avalée. Quelles sont tes inspirations? Mes rêves nocturnes ou éveillés, ainsi que mes émotions, sensations et questions. Quelques peintres que j’admire : Jerome Bosch, Leonard de Vinci, William Turner, Amedeo Modigliani, Edward Hopper, Jonas Burgert… Et pour le dessin : Joan Sfar et Sempé. Quelle serait ta devise? Deux citations en guise de devise : “Il faut porter encore en soi un chaos, pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante.” (Nietszche) “Légèreté de l’oiseau qui n’a pas besoin pour chanter de posséder la forêt, pas même un seul arbre.” (Christian Bobin)
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