Artiste Photographe D’où vient ton nom de créateur ? Le Poulailler – Une trop longue histoire à raconter entre une poule et moi ! Comment tu t’es lancée dans la création? Jeune, j’ai testé plusieurs vecteurs artistiques (musique, peinture, design …) mais c’est à travers la photographie que je réussis à m’exprimer réellement. Au début c’était pour le plaisir puis cette passion est devenu mon métier. Un rêve de gosse de vivre autour de l’art ! Quelles sont tes inspirations? Le quotidien dans la rue ou en pleine nature selon l’ambiance, les couleurs, la lumière… Avec des situations plus ou moins cocasses. Alors, j’attends. J’attends le bon moment, la bonne personne, la bonne situation qui fera de cette photo un moment unique. Quelle serait ta devise? Roule ma poule !!
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Je récupère, trafique, bidouille, recycle ou encore customise des matières telles que de la toile de parachute, du vinyle, de plastique bulle indus ou encore de vieille fringue. Je les transforme, leur redonne une seconde vie en forme de sac, de boucle d’oreille, d’objet de maison : distributeur de papier toilette, étagère, horloge… D’où vient ton nom de créateur ? L’M est un jeu de lettre et de mot. Ce sont mes initiales. L’M est le nom de ma boite, de ma touche…. j’existe depuis seulement 2 mois… Je découvre ce monde. Je suis complétement autodidacte avec ma p’tite machine a coudre, ma Dremel…. j’apprends chaque jour en travaillant mes matières. Comment tu t’es lancée dans la création? C’est mon chéri qui m’a motivé à créer ma boite et à proposer mes objets à la vente. Quelles sont tes inspirations? Je trouve l’inspiration dans la vie du quotidien et en discutant avec les gens. Tout cela me donne des idées. ensuite il n’y a plus qu’a … ! Quelle serait ta devise? Ma devise, si je dois en trouver une, serait : « Vers l’au delà et l’infinie… » (c’est ce qui me vient aujourd’hui mais demain je ne sais pas si j’aurai la même………… !!!) […]
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Sewed Skulls ce sont de petits crânes réalisés à partir de pâte polymère (Fimo) puis peints à la main et vernis. Ils sont ensuite montés sur tous types de supports: pinces à cheveux, broches, boucles d’oreilles, sautoirs, headbands, serre-têtes, broches-colliers, etc… Ces bijoux se déclinent selon vos envies, ils sont entièrement personnalisables et chaque modèle est unique! D’où vient ton nom de créateur ? De l’anglais Sewed Skulls qui se traduit par « crânes cousus ». Peu sont ceux qui le prononcent correctement 😉 Comment tu t’es lancé dans la création? Je bidouillais déjà la Fimo quand ma petite sœur m’a demandé de lui confectionner des bijoux en rapport avec l’Étrange Noël de Mr Jack. J’adore l’univers de Tim Burton donc mon envie de me lancer dans la création a émergé tout naturellement de cette idée que je pouvais exprimer mes centres d’intérêt à travers mes réalisations et je me suis rendue compte que mes bijoux plaisaient donc j’ai foncé! Quelles sont tes inspirations? Le petit monde décalé de Tim Burton, l’art mexicain et plus particulièrement les réalisations ayant un rapport avec la célébration du Jour des Morts (Dìa de los muertos: sucreries très colorées en forme de crânes, déguisements…), l’univers du tatouage et les […]
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Je réalise des accessoires en cuir et des meubles et objets en bois. J’aime également récupérer des vieux meubles et leur donner une seconde vie. Mes créations sont fabriquées selon mes inspirations mais également sur commande. Cela fait un an que je me suis lancée sur l’île de la Réunion. D’où vient ton nom de créateur ? Le hibou, désigne un animal totem. Il représente mon grand père qui m’a beaucoup transmis dans l’art du bois. J’ai grandi dans son atelier d’ébéniste. Il m’a inculqué cette passion pour cette matière. Comment tu t’es lancé dans la création? J’ai fait l’école de l’art en Espagne, c’est là-bas que j’ai appris l’art du cuir et où j’ai pu perfectionner la sculpture sur bois. J’ai travaillé pour différentes entreprises d’ébénisterie et menuiserie, où j’ai pu apprendre différentes techniques pour travailler. C’est à la Réunion que j’ai commencé à me lancer dans la création. Selon moi, les personnes de cette île valorisent beaucoup l’artisanat. C’est ce qui a conforté mon envie de créer mon activité. Quelles sont tes inspirations? Ce qui m’inspire c’est d’avoir la chance de créer des pièces uniques appréciées par les Autres (ou pas…^^). L’ambiance réunionnaise m’inspire pour créer. Quelle serait ta devise? Avancer
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Initiée à la céramique dans l’atelier de Michel Téqui, je travaille la terre depuis 20 ans à la recherche de formes et de matières qui ne cessent de se questionner mutuellement. Mon processus est d’ordre instinctif et j’aime me laisser emporter par la matière sans savoir au préalable quelle sera la finalité formelle de ce voyage créatif. Apres avoir exploré la forme du contenant, mon travail s’est orienté vers le mobilier. D’abord a des fins personnelles, puis pour mon entourage, les commandes de tables, de vasques, de lampes se sont multipliées jusqu à ce qu’un galeriste new -yorkais remarque mon travail et me propose une exposition dediée au design mobilier. Ma démarche est d’associer les couleurs, les formes et d’introduire une touche végétalisée.
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Le Corridor bleu privilégie les découvertes éditoriales, qu’il s’agisse de littérature, de philosophie, de spiritualité ou du patrimoine culturel de La Réunion où il a élu domicile. Le plaisir du texte rencontre le souci du papier et de la mise en page. Comité éditorial : Charles-Mézence Briseul, écrivain Ivar Ch’Vavar, poète & critique Pierre Vinclair, romancier & poète D’où vient ton nom de créateur ? Le Corridor bleu est une image de la création. C’est un lieu contraignant et flou à la fois dans lequel on n’est jamais sûr de ce que l’on trouvera. Comment tu t’es lancé dans la création? Il y a une dizaine d’années, j’ai lancé le Corridor bleu pour publier des poètes dont j’appréciais particulièrement le travail. Puis, peu à peu, je me suis tourné vers d’autres genres et d’autres artistes qui m’ont permis d’étoffer la ligne éditoriale. Quelles sont tes inspirations? En édition: José Corti, Encres Marines, Fata Morgana, Finitude, Sens & Tonka, Verdier. En écriture: Céline, la beat generation, les poésies expérimentales du 20ème siècle (sonores, visuelles, concrètes), Pierre Michon, Jules Hermann. En cinéma: Godard, Rohmer, Dumont, Lynch, Tarkovski. Quelle serait ta devise? Un livre est une expérience. Totale.
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« Le dodo lé la…. », le petit dernier de la collection de nos tabourets, issu du travail conjoint de nos ateliers de menuiserie et de sérigraphie. Pour toute demande et commande sur mesure et personnalisée: contact@les-rencontres-alternatives.com ou bien venez nous retrouver Samedi prochain 24 Septembre pour notre journée Portes Ouvertes dans notre local du Guillaume.
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Je suis dans la créativité et l’édition des jeux de société. La Mètis est un jeu de société crée à La Réunion. C’est un jeu intergénérationnel, culturel, pédagogique, éducatif proposé aux enfants et aux adultes . Le jeu permet de découvrir ou redécouvrir La Réunion. D’où vient ton nom d’artiste? Tout d’abord le nom La Mètis représente l’Ile , issue du métissage. Mètis est aussi le nom d’une déesse grec qui veut dire la ruse et l’intelligence… ce qui représente bien le jeu en général. Comment t’es tu lancée dans la création? Je me suis lancée dans la création du jeu La Mètis car nos jeunes se tournent de plus en plus vers l’extérieur. Redonner une dynamique sous forme ludique autour de la culture et patrimoine Réunionnais. Afin de revenir aux sources. Quelles sont tes inspirations? Mes inspirations sont de recréer le partage, le rire et les connaissances à travers des mimes ( mimer le maloya) dessinez ( la cascade biberon) et poussez la chansonnette . Et de bien d’autres thèmes . Fous rires garantis. Quelle serait ta devise? Ma devise serai : Réunionnais un jour, Réunionnais toujours.
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A travers l’emploi de l’argile je propose des interrogations : sur la fonction et le statut de l’objet, sur la frontière mouvante entre l’art contemporain et l’artisanat, le fait main et la série,…. Jonglant entre une production utilitaire colorée et décalée sous l’appellation “Ô grés d’Alice” et des créations artistiques qui prennent la forme d’installation, de sculpture ou de performance. Je défends la possibilité d’accorder démarche artistique contemporaine et savoir-faire traditionnel. D’où vient ton nom d’artiste? “ô grés d ‘Alice” c’est le nom qui m’est venu en tournant un bol sur un tour à pied à l’atelier de l’ENSAA Dupéré à Paris en 2000., j’avais du mal à signer de mon nom. “ô grés d ‘Alice” C’est une série de jeux de mots et d’orthographe le ô de l’apostrophe qui exprime l’émotion lyrique en poésie, grés comme l’argile ou Au gré….selon le gré de quelqu’un, selon ses désirs, ses sentiments ou bien encore comme un Ogre que je suis. Pour le travail artistique je signe en mon nom Alice Aucuit, un nom que j’aime avec le temps. Quelles sont tes inspirations? La religiosité du quotidien: l’importance des petites choses, l’acte de fouiller, de mélanger, de détourner. L’archéologie du souvenir, de […]
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La photographie de rues. Une errance de densité variable, une alternance de moments faibles, dans des lieux vides où il ne se passe pas grand chose et de moments forts riches en scènes et en événements spontanés. » Une technique du passage hâtif à travers des ambiances variées » ( Guy DEBORD in Théorie de la dérive ) Je navigue de ce fait souvent entre la tentation grégaire de rejoindre la foule afin de multiplier les chances et celle de s’isoler à la recherche de l’évènement insolite se produisant à l’écart du monde. D’où vient ton nom d’artiste? Je m’engage sous mon propre nom… Gillesdumurphotographies et signe ( petite coquetterie ) Comment t’es tu lancé dans la création? C’est la continuité et l’évolution de ma vie professionnelle dans l’image depuis 35 ans. Quelles sont tes inspirations? La rue et la musique ( ROCK bien sur ) et inversement ! Quelle serait ta devise? En avoir ou pas.
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