Gwael DESBONT, photographe indépendant Comment t’es tu lancé dans la création? J’étais assistant photographe pendant 8 ans dans différents studios photo à la Réunion, essentiellement dans la publicité et le reportage en entreprise. Je suis maintenant à mon compte depuis 4 ans, je travaille toujours dans la publicité mais aussi pour la presse locale, l’évènementiel, le corporate et je m’occupe aussi du journal interne du centre pénitencier au Port. Quelles sont tes inspirations? Les rencontres quotidiennes Quelle serait ta devise? Bazinga ?
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A mon arrivée sur l’île il y a 2 ans j’ai fait des rencontres qui m’ont poussée et accompagnée dans la création de mes tableaux. J’ai découvert ici la technique du collage de journaux en fond, puis comme support j’ai décidé de récupérer ce que je pouvais trouver sur mon chemin, au quotidien (étagères, morceaux de meubles, chutes de bois…) D’où vient ton nom de créateur ? TINKY : n’est pas un nom d’artiste au départ, c’est un surnom qui m’a été donné par des amis. Comment t’es tu lancée dans la création? J’ai toujours aimé créer en autodidacte. J’ai commencé par le dessin, puis la peinture. Quelles sont tes inspirations? Une humeur, une envie, un projet, une image, une personne : quelque chose qui va faire écho en moi Quelle serait ta devise? …
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Je lance depuis quelques mois un atelier de couture sur mesure. D’où vient ton nom de créateur ? « Jungle » parce que mes premières inspirations sont les environnements tropicaux (couleurs, plantes, paysages, architecture) et « Sew » pour un petit clin d’œil à la couture fait main. Comment t’es tu lancé dans la création? Je fais principalement des sacs, pochettes et accessoires (petites trousses, pochettes ordi) avec quelques modèles permanents. La particularité de ma marque : le client peut aussi choisir ses propres coloris et tissus selon la gamme proposée. Tous les modèles sont faits main et numérotés. Quelles sont tes inspirations? Quelle serait ta devise?
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D’où vient ton nom de créateur ? « Peuple des Lianes ». Parce que c’est bon de se sentir connecté, de se lier….pour mieux se détacher et recommencer…! Comment t’es tu lancée dans la création? Un parcours en philo et en travail social, des séjours un peu partout, au Burkina Faso Pays des Hommes Intègres ça laisse des traces, une main qui fabrique tout le temps avec ce qui ne sert plus….du tissu récupéré, des lianes de tissus…et c’était parti ! Quelles sont tes inspirations? Les Peuples dits « Premiers », le métissage, l’avant mélangé à l’après, le maillage…. Quelle serait ta devise? Lorsque tu ne sais pas où tu vas….regarde d’où tu viens.
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Nous sommes 2 amies et voisines et nous nous sommes lancées dans la réalisation de bijoux à base de perles miyuki. Les perles miyuki sont des perles en verre japonaises coupées au laser, célèbres pour leurs jolies couleurs et leur régularité qui donnent au tissage un aspect parfaitement homogène. Les perles sont tissées une à une à la main à l’aide d’une aiguille. C’est un travail de patience et de longue haleine qui permet d’oublier les soucis du quotidien! D’où vient votre nom de créateurs ? Parce que ça coulait de source!!! Comment vous êtes-vous lancées dans la création? Nous nous sommes lancées dans la réalisation de bijoux il y a quelques mois. Louise s’est lancée en premier dans la création de bracelets manchettes. J’ai découvert le tissage et les perles grâce à elle! Je fais un petit peu de peinture à mes heures perdues, je suis très sensible à la couleur et surtout fanatique de boucles d’oreilles. Louise m’a logiquement mis le pied à l’étrier pour que je me lance dans la réalisation de mes propres boucles. Nous nous sommes clairement laissées prendre aux jeux des couleurs et des formes! C’est un puit sans fond, on peut faire des […]
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Après des années de tâtonnements de couleurs et de matières, je prend enfin un réel plaisir avec le noir et blanc. Stylo, encre de chine et gouache blanche sont la base de ma technique. Je m’essaie encore à différents supports, les possibilités sont infinies… il faut l’avouer j’ai un petit faible pour les portraits… D’où vient ton nom de créateur ? Je signe Leslie, c’est mon prénom tout simplement… Comment t’es-tu lancée dans la création? Je dessinais beaucoup étant enfant.. mais la vie et ses contraintes ne m’ont plus laissé ce temps là… j’ai repris en venant m’installer ici, grâce a Florence Vitry qui m’a redonné l’envie.. .Merci à elle pour son amour de l’art et sa patience… Quelles sont tes inspirations? J’aime les gens, je me surprend souvent a scruter les inconnus dans la rue, à la recherche de ce truc qui les rend unique… tout le monde est beau à sa façon et c’est ça que je veux montrer dans mes tableaux… Quelle serait ta devise? Be happy…
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« La caresse de l’eau » est un travail de portrait aquatique, principalement des portraits de femme. Pourquoi dans l’eau ? Pour l’importance qu’elle a dans ma vie. Parce que dans cet univers, les éléments jouent et créent de nouvelles textures, comme une peinture très fugace dont je cherche à capter l’instant. Le portrait aquatique est pour moi une façon aussi d’utiliser l’image à contre – courant : au delà des stéréotypes sur le corps qu’on nous présente comme « beau », je cherche à célébrer la beauté de chacun. Dans l’univers aquatique, le corps est porté, et il décide, vole, se lance, ose…Tandis que lumière et eau se mêlent à la danse pour apporter leurs touches de poésie au tableau final ! Et parce que l’eau nous a accompagnés pour nos premiers mois de vie.. C’est pour moi logique d’y sublimer aussi la maternité ! D’où vient ton nom de créateur ? C’est plutôt le nom d’un projet.. « La caresse de l’eau », c’est ce que je ressens quand je pars dans le bleu intense, et notamment celui des eaux Réunionnaises. Ce nom est arrivé comme une évidence : L’eau symbole de la féminité, l’eau qui enveloppe, qui apaise, dont nous ne pouvons nous […]
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BIO ET DEMARCHE: Après de nombreuses années d’errance et d’expérimentations en solo, Vie464 a été formée au dessin et à la peinture à l’Atelier Jean-Jacques Houée, à l’Eperon. Après quelques recherches sur l’éclatement de l’espace ayant donné lieu entres autres à de grandes toiles abstraites, elle revient à ses premières amours, les collages, recomposant le monde à sa manière en suivant un fil conducteur : “qu’y a t’il derrière les apparences”? En 2016, elle s’attelle entre autres à « Châteaux de Cartes », série de tableaux en cartes à jouer découpées. Une idée en amenant une autre, un texte est écrit qui commence à raconter une histoire. L’histoire se poursuivant amène la nécessité de réaliser d’autres tableaux, qui en deviennent les illustrations. Ce projet se poursuivt en 2017 et se terminera par l’édition d’un livre. Parallèlement, elle prépare des conférences/ateliers autour de l’histoire de l’art pour des jeunes à partir de 5 ans. La première, sur Michel Ange, devrait être prête en juin 2017. Elle propose également des « Journées de Vie », qui délocalise les arts plastiques directement chez vous. Une journée entière sur un thème donné, avec un cours de dessin proprement dit sur quelques heures, un repas partagé et la réalisation […]
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Je fais des petites collections sous le nom de L’atelier des Filles , je ne fais que des séries limitées car c’est beaucoup de patience, de travail et surtout j’utilise des tissus recyclés, je ne peux donc pas fournir des collections plus importantes D’où vient votre nom de créateur ? Comment t’es-tu lancée dans la création? En souvenir de ma grand-mère créole qui brodait – cette collection est aussi un hommage à mes origines Réunionnaises Quelles sont tes inspirations? C’est important pour moi de créer, c’est ma bulle méditative. Pouvoir transformer les standards créoles de l’artisanat, avec un regard plus moderne et élégant , voilà mon leitmotiv Quelle serait votre devise? Nous pouvons créer de magiques choses en unissant nos savoirs faire et nos différences (j’essaie toujours de relier des influences opposées , un message aussi de paix dans mes créations au monde, voilà mon message)
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Je fabrique avec l’aide d’une couturière des hamacs pour enfants . Ces hamacs sont en bois (pin non traité et bientôt bois locaux) , en cordes de coton naturel et en tissu 100% coton . Ils sont évolutifs et peuvent se transformer en balancelle accompagnant ainsi l’enfant de son plus jeune âge jusqu’à ses 3-4 ans . D’où vient votre nom de créateur ? Le nom BABAHAMAC est tout simplement l’association de » BABA » qui signifie bébé en créole et du nom » HAMAC » . Comment t’es-tu lancée dans la création? Un hamac du même style m’a été offert à la naissance de ma fille ainée ; travaillant déjà sur les marchés à l’époque , ce hamac s’est avéré indispensable pour que ma fille passe les journées avec moi sous mon parasol forain . Puis , très vite , j’ai eu envie d’en faire profiter d’autres marmay . Quelles sont tes inspirations? Quelle serait votre devise? Ma devise : « un enfant endormi est bien le plus beau , le plus tendre et le plus plaisant spectacle qui puisse s’offrir à des yeux humains » de Stijn Streuvels
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