Création de bijoux D’où vient ton nom de créateur ? « Filembule » parce que je travaille le fil en rondeur. Présentes-nous ton travail… Je crée colliers, bagues, bracelets et piercings. Je tords les fils en inox et de cuivre et travaille les perles d’hématite et de verre en fonction des formes, des couleurs et des volumes. Toutes mes collections sont personnalisantes. Les matériaux utilisés sont de l’acier inoxydable, du cuivre émaillé qui ne marquent pas la peau. Comment as-tu décidé de te lancer dans la création ? Je fête mes 20 ans de créations cette année. J’ai toujours travaillé sur des marchés de créateurs et d’artisanat mais j’ai également eu une boutique pendant 5 ans. J’ai débuté en Bretagne en m’amusant avec tous les fils de cuivre de mon grand-père qui était chaudronnier. Mon inspiration créative a débuté de cette manière-là et c’est devenu une passion qui dure… Quelles-sont tes inspirations ? L’oeil de Sainte Lucie. Quelle-serait ta devise ? L’euro mais j’accepte les dollars aussi ! 🙂
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Création de bijoux D’où vient ton nom de créateur ? Bijoux d’Ô et de Feu est en rapport avec mes matières premières : morceaux de coquillages, verre poli, pierre de lave… Comment as-tu décidé de te lancer dans la création ? J’ai créé des bijoux et j’ai trouvé mes matières premières sur les plages de l’île. Quelles-sont tes inspirations ? La forme des morceaux de coquillages, la couleur des verres polis et des pierres de lave. Quelle-serait ta devise ? « Inspiration au gré des promenades ».
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Toiles et objets recustomisés D’où vient ton nom de créateur ? C’est une contraction phonique de mon nom et prénom (Caro = Kro). Parallèlement, c’est la deuxième syllabe du mot microbe, ce que nous sommes tous. Présentes-nous ton travail… C’est une recherche autour de la surcharge, du mouvement et de la compacité, témoins d’un monde où tout se bouscule, s’entasse et se disperse. Cette proposition tente de saisir l’étourdissement de l’époque comme la description d’une ère en mal de sens. Les matières se glanent comme les fruits de nos saisons et s’incrustent dans les couleurs, maquillées comme pour cacher leurs origines. Comment as-tu décidé de te lancer dans la création ? Je suis une créatrice du hasard. À 26 ans, une longue période de chômage me conduit à occuper mes mains et mon temps. Je fais mes premiers marchés et expos et je rencontre mes premiers artistes. Je participe à de nombreux collectifs, et mon support évolue (de la toile à l’objet, de l’objet au mur, et du mur aux lieux). Je reprends aujourd’hui ma démarche où je l’avais laissée. Quelles-sont tes inspirations ? Elles sont multiples : la nature, les hommes, les autres, les formes, les couleurs… pour moi […]
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Création d’objets de décoration et de maroquinerie en cuir D’où vient ton nom de créatrice ? Kawa signifie cuir en jalonnais et Kawaii veut dire mignon. J’ai donc fait un jeu de mots pour montrer ce que je présente dans mes créations. Comment as-tu décidé de te lancer dans la création ? J’ai déjà une entreprise où je travaille le papier mais il faut bien plus travailler. J’ai donc décidé de travailler également le cuir qui est une matière noble, le papier est plus délicat. Quelles-sont tes inspirations ? Le Japon et tout ce qui est mignon. J’aime aussi mettre de mes dessins et mes créations pour changer le cuir. Quelle-serait ta devise ? Artisanat un jour, artisanat toujours.
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Illustration, aquarelle D’où vient ton nom de créatrice ? Marina M. est tout simplement mon nom, la simplicité est ce qui me caractérise. Présentes-nous ton travail… Je réalise principalement des aquarelles colorées, fantaisistes et pétillantes. J’utilise du papier aquarelle sous des formats différents (allant du marque-page au A3). À terme je souhaite, au travers de mes créations, mettre en valeur mon île, ses traditions, sa culture et ses paysages. Je crée des illustrations avec amour pour partager des émotions. Comment as-tu décidé de te lancer dans la création ? Depuis mon plus jeune âge, je suis passionnée par le dessin et les loisirs créatifs. Fin 2017, je me suis dis qu’il était temps d’assumer ma passion et de la vivre pleinement. Depuis le début d’année 2018, je me consacre à ma passion pour l’illustration. Je suis tombée amoureuse de l’aquarelle depuis que j’ai découvert cette discipline. Au fil des mois, elle me comble de plus en plus. Quelles-sont tes inspirations ? Je m’inspire de ce qui m’entoure, de mon île, de mes proches. De nature optimiste, j’aime mettre beaucoup de couleurs dans mes dessins. Quelle-serait ta devise ? Depuis toujours, je me suis dit « quand onveut, on peut » ! […]
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Née à Grasse en 1991, Fanny a depuis l’enfance consacré son temps libre à l’apprentissage et la pratique du dessin. Ambitieuse dans ce domaine, c’est vers les Arts Appliqués qu’elle choisit de se tourner, une première façon de mettre son talent à l’ouvrage. Elle s’envole ensuite vers la Réunion pour étudier la mode et le design. Domaine dans lequel elle obtient son diplôme. Suite à cela c’est la République Dominicaine qui l’attire et l’inspire à créer sa propre ligne de maillots de bains. Mais c’est surtout aussi là bas, au contact de tatoueurs locaux que la passion du tatouage se présente à elle. A son retour de cette île, elle abandonne l’idée du stylisme pour s’exercer et adapter ses dessins à ce nouvel art qui prend rapidement sa place dans son quotidien. Le Dotwork l’intrigue et c’est vers cette technique qu’elle va axer ses formations auprès de Emeline Tattoo Fréjus et Nar Tattoo. Aujourd’hui portée par ce nouvel élan artistique, elle s’essaie à un tout nouveau concept pour elle : la réalisation de toile inspirée de l’univers du Dotwork et du Tatouage.
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Illustrateur jeunesse depuis 7 ans, il a d’abord fait des études de graphisme à Paris et travaillé en tant que graphiste, accessoiriste/décorateur pour le cinéma et la télévision, roughman/photomonteur pour des agences de publicité, animateur 2D pour le Futursocope de Poitiers, la Tour Eiffel ou le Château des Ducs de Bretagne à Nantes, illustrateur pub pour divers annonceurs puis co-réalisé Rubika, court métrage 3D avec des étudiants de Supinfocom. Il travaille actuellement pour divers éditeurs Français et étrangers (Gallimard, Hachette, Nathan, Sarbacane, Flammarion…) et magazines (enfants : Astrapi, Les Belles Histoires, J’aime Lire / adulte : The New Yorker, Parisien Magazine). A la Réunion, il a dessiné 5 affiches pour le projet collectif Rock & BD dont l’image présentée est issue.
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Judith ROUGÉ-ROBERT est passionnée par les insectes. Au delà des pattes, carapaces, mandibules, poils et antennes qui peuvent rebuter ou effrayer certains, elle leur trouve une grâce infinie et les compare souvent à des danseuses, quand ils ouvrent les voiles de leurs ailes. Elle aime leur perfection symétrique, leurs petites mécaniques huilées, la transparence de leurs ailes et les nuances pastel de leurs costumes. Ce travail en sérigraphie prolonge les créations qu’elle réalise en volume avec du papier, du cuivre, des encres et des pigments et qu’elle présente d’habitude dans des petites boîtes d’entomologiste au sein de son atelier « Mérope L’Étang »
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Aurellll, artiste plasticienne, vous invite dans son univers où elle exploite l’imagerie de l’anatomie humaine et produits des séries . Elle exploite la peinture, le dessin, le collage, munie d’une sensibilité de coloriste avec une palette très acidulée et contrastée. Aurellll expérimente la pluridisciplinarité comme les installations à base d’éléments naturels, de broderie, de tissu et de fil. Elle s’inspire de son environnement, de la végétation, selon le lieu où elle se trouve lors de la création, elle s’interroge également sur ce qu’il se passe à l’intérieur des éléments et les formes de chaque espèce. Elle a toujours été fascinée par la mythologie, les déesses, les divinités féminines. Elle se spécialise sur la représentation féminine (utérus, matrice) et le féminin sacré. * voir la section duos sérigraphiques
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Né à la Réunion en 1984. Félix Duclassan est diplômé d’une licence d’arts plastiques et de sciences de l’Art. Il est également enseignant d’arts plastiques. L’image chez Félix Duclassan semble hésiter, dans un frémissement entre apparaître et disparaître. L’image affleure à la surface de la toile, comme le souvenir remonte, revient à la mémoire. Ces images, hésitantes, semblent toujours sur le point de se retirer dans le blanc immaculé du support, échappant à toute fixation définitive. L’image semble en suspens. S’appuyant sur un corpus de photographies documentaires, l’artiste procède par transfert. Cette technique renvoie à la déperdition inévitable de toute re-présentation. Pris dans ce battement entre présence et absence, plein et vide, le spectateur entre dans un champ d’incertitudes qui questionne le visible à l’oeuvre dans toute image. * Voir la section duos sérigraphiques.
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